Danny the dog

Cela faisait quinze jours sans ciné, le dernier s'était ébahi devant le château ambulant. Là, une petite toile, pour fêter le retour de la santé, pour espérer garder du temps tout en regardant un film... Bref, le plaisir de la toile, du son et des sièges. On évitera bien sûr de parler des gens qui tout comme vous viennent au cinéma, mais eux on se demande pourquoi. Peut être n'ont ils pas le loisir de parler à table chez eux. Bref, je m'égare. Alors danny the dog, j'en avais entendu beaucoup de bien, ça n'en restera pas moins un petit film. Produit par Besson, il reste une petite frappe, malheureusement, même si le scénario se veut un peu plus original que d'habitude, on s'attend, on se regarde, on croît à l'amourette parce qu'il n'y a que cela à faire. C'est certain, je n'irai pas me frotter à Jet Li, mais il a tout de même fait mieux. Par contre, je lui reconnais une chose, c'est que je n'arrive jamais à lui donner d'âge et que lui au moins, il fait plusieurs films par an. Enfin, pour le plaisir de voir morgan freeman avec les cheveux court et un rôle d'aveugle, cela vaut peut être le coup de payer huit euros. Avis mitigé donc, préférer un bon théatre ou si la toile vous démange, allez y le matin, c'est tarif réduit.